« Le Maroc est aussi mon pays, c’est la que j’ai grandis, je vis de la discrimination dans mon école mais on me comprend, m’aide et me sent. » Aujourd’hui âgé de 16 ans, le mineure congolais K., qui a quitté son pays natal à la compagnie de sa mère et sa sœur dans la quête de
Khadija est irakienne. Elle porte le sourire de sa souffrance. La quarantaine, mariée depuis 1986 avec un Marocain installé à Bagdad. De cette union, naissent deux enfants mâles. En Irak, on appréciait les Marocains pour leur sérieux, leur amabilité et le soin qu’ils portent à leur travail. Pendant cinq ans, Khadija travaille dans une association
Solange, 39 ans, vient de la RDC où elle a passé un Bac en maths-physique avant d’entamer des études universitaires. Quand la guerre a éclaté dans son pays en 2000, elle a fui, comme des milliers d’autres, les affres du conflit. Pour arriver au Maroc, Solange a mis cinq ans et a emprunté toutes sortes
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